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Les échangés, c'est le nouveau titre de la fabrique des bâtards. Et c'est aussi un nouveau roman. J'ai ajouté à la première édition, un chapitre qui lance l'action dès les premières lignes. Il donne aussi des informations supplémentaires, qui permettent d'appréhender un peu mieux la psychologie de l'un des personnages.
La fabrique des bâtards était banni des AD par Amazon, qui estime que le mot bâtard est vulgaire, injurieux et profane (sic). Or, sans AD, la promo propre à Amazon, impossible pour un livre autoédité de remonter dans les requêtes. Il reste invisible et ne peut espérer trouver ses lecteurs.
Amazon est une formidable opportunité pour les indépendants, quoi qu'on pense de ce géant en situation de quasi monopole. C'est la seul plateforme libre d'accès, simple à utiliser et qui réunit tous les outils pour créer un livre. Mais c'est aussi un GAFAM, une grande société américaine, avec ses règles incongrues et son moralisme à la mode WASP, teintée de wokisme, tout la paradoxe américain.
J'ai donc tout essayé pour tenter de sauver la fabrique, en vain. Mes échanges avec les modérateurs basés en Californie, qui écrivent et lisent le Français en Anglais via Google Translate, sont juste surréalistes. J'ai changé la couverture, tenté de passer en douce en remplaçant les a de bâtard par des @. L'algorithme a tout prévu et ne laisse rien passer.
L'option nouveau roman s'est donc imposée. Et, avec elle, la nécessité d'améliorer le précédent.
Voici comment est né Les échangés.
En précommande jusqu'au 22 décembre, en Ebook et d'ores et déjà en version brochée.