Dans Varcolac, une organisation criminelle prend le contrôle du trafic de stupéfiant et s'implante dans le Sud Gironde, non loin des ruines des anciens bordels du Poteau. |
lundi 1 mars 2021
Dans Varcolac, le narcotrafic s'implante sur ses bases historiques
mercredi 24 février 2021
Varcolac en relecture, à paraître au mois d'avril
A la troisième relecture de Varvolac, les fautes d'orthographe se font très rares. C'est une bonne nouvelle, à moins que la fatigue n'érode mon attention. Madame a dévoré le bouquin et elle en a oublié de corriger certains chapitres.
Je propose donc le manuscrit en bêta-lecture, afin d'avoir de nouveaux ressentis sur la bête, dont vous avez noté qu'elle a changé de titre. Vircolac est devenu Varcolac ; le premier est le nom d'un groupe de Métal... J'ai travaillé sur un nouveau projet de couverture.
C'est la vie d'auteur auto-édité, qui doit en plus mener de front son activité professionnelle et assurer un minimum de présence au sein du foyer familial. Je peine parfois.
Se pose donc désormais la question du mode d'édition de Varcolac, qui donnera lieu vraisemblablement à un nouvel opus, si ce n'est à deux. Le point final posé, à l'issue de la première relecture, il m'est en effet apparu que le récit ouvrait de nombreuses perspectives en matière de préquels et de divagations.
J'ai donc le choix entre plusieurs options :
- Passer à nouveau par Librinova, qui m'a rendu service tandis que je n'avais aucune idée de ce qu'était l'univers de l'auto-édition. Ils s'occupent de tout pour publier le e-book et assurent le suivi des ventes. Ils sont très réactifs et vraiment sympas. Mais leur offre pour la version brochée n'est pas vraiment avantageuse. C'est là que se dessinent deux autres solutions : BOD et Amazon.
- Amazon demeure le leader incontesté de la vente de livres en ligne. Son classement est un accélérateur de ventes considérable. Son offre d'impression/livraison est imbattable. Ses outils sont parfaits... Mais l'énoncé de son nom est aussi un terrible repoussoir. Et je me demande dans quelle mesure il me sera possible de placer le livre dans les librairies locales avec cette étiquette.
- Il reste donc BOD, qui peut proposer une mise en ligne du e-book sur toutes les plateformes et dispose d'un service de livre imprimé à la commande de qualité, qui peut aussi être vendu sur Amazon. BOD fonctionne également. comme un éditeur qui livre les librairies. Son inconvénient : l'impression et l'envoi des exemplaires auteurs sont beaucoup plus onéreux que le service équivalent d'Amazon. Notamment à cause des coûts postaux. Par voie de conséquence, les bénéfices à espérer sont moins importants...
lundi 5 octobre 2020
Deux résumés [teasers] pour un roman
Après le dur constat que les internautes bloquaient souvent au bout du voyage numérique, j'ai retravaillé le teaser de la fabrique des bâtards.
Voici donc deux propositions. Le premier texte est la nouvelle mouture. Le second est celui qui est utilisé actuellement.
Teaser 1
La fabrique des bâtards explore un futur possible à vous glacer les veines ; ces vaisseaux dans lequel coule le sang de vos ancêtres, mais qui ne sera plus celui de vos enfants.
Ce thriller politique et social au rythme endiablé va vous plonger dans une traque impitoyable dont l’enjeu dépasse les protagonistes.
Imaginez chaque nouveau-né, enfant de la République, échappant à l’avenir prédestiné qui enchaînait ses parents. Imaginez le Destin revisité. Imaginez la paix, un monde nouveau peuplé de frères et de sœurs…
L’État français expérimente l’ultime avancée sociétale, celle par quoi toute inégalité sera abolie et toute race effacée. Survient en réaction la partition ultime des territoires perdus, l’expression de tous les séparatismes et la résistance.
Magnus Latro explore une hypothèse folle qui ressemble pourtant à un futur possible.
Au commencement était une idée simple : partager les nouveaux-nés entre toutes les familles en désir d’enfant. Un écho à cette proposition : « La vraie révolution, la vraie égalité totale, ce serait de mélanger les bébés à la naissance comme dans La vie est un long fleuve tranquille. »
Teaser 2
L’enlèvement d’un nouveau-né à ses co-parents déclenche une série de violences. Les forces de sécurité peinent à contenir des bandes armées. Des familles entières tentent de s’enfuir de zones urbaines qui ont fait sécession. Dans cette ambiance insurrectionnelle, les enquêteurs s’efforcent de retrouver l’enfant et d’identifier son ravisseur. Des groupes d’influence et des organisations politiques brouillent les pistes.
L’inspecteur Ledhu explore toutes les hypothèses mais son enquête lui échappe. Victor Perrodeau, son principal suspect, est pris en chasse par les hommes de main d’un magnat du porno et de sa fille, envoûtante et nocive. Les filets se resserrent autour des protagonistes de cette traque sans pitié qui traverse des territoires bouleversés.
Le fugitif qui cherche à préserver le secret de la nouvelle famille de l’enfant, doit échapper à ses poursuivants. L’enquêteur va devenir un danger et sa vie sera menacée.
Au commencement était une idée simple : partager les nouveaux-nés entre toutes les familles en désir d’enfant. Un écho à cette proposition de Yann Moix : « La vraie révolution, la vraie égalité totale, ce serait de mélanger les bébés à la naissance comme dans La vie est un long fleuve tranquille. »
La fabrique des bâtards est un thriller politique et social, l’histoire d’une traque impitoyable. C’est un roman d’aventure qui dessine un futur possible.
Êtes-vous prêts à plonger dans le monde d'après ?
vendredi 29 mai 2020
Une [bonne] critique en demi-teinte qui passe à côté d'un [gros] détail
Les critiques (CC : Irina/https://www.flickr.com/photos/repolco/) |
A retenir
Une interprétation mérite une précision
mardi 19 mai 2020
Le jour où j’ai cru que j’allais trouver un éditeur
Décider de publier son travail, c'est commencer par le relire, le corriger, le ré-écrire et consommer des tonnes de papier. (photo : CC Drew Coffman) |
Objectif publication
Les 25 premiers exemplaires
jeudi 14 mai 2020
L’édition à petit tirage papier sans perdre d’argent, c’est possible mais...
Il y a moyen de publier un livre papier et de le diffuser localement sans perdre d'argent. (Photo par mohamed hassan - PxHere) |
Un contrat d'édition vrai de vrai
Éditeur, c’est un métier
" La promotion demeure la clé du succès d’un livre. C’est l’arme fatale. Elle permet de vendre même du très médiocre... "
Un petit billet pour l'auteur
E-book ou livre imprimé ?
mardi 12 mai 2020
Auteur auto-édité cherche critique : histoire vraie de la chronique perdue
Assurer la promo de son livre auto-édité, c'est un peu le stress. |
Je consulte mes mails : une chronique vient de tomber. Une bonne fée s’est penchée sur mon roman auto-édité. A moins que … Fébrile, je lis la critique. Ouf ! Elle a aimé, ou presque. Elle n'a pas détesté. Tout va bien.
Où va-t-elle la publier ? Est-ce que ça va avoir un impact sur les ventes ? Il me faudrait un avis sur Amazon. Bon, Babelio, c’est déjà bien. Et son blog a l’air d’être visité… C’est quand même sur Amazon que ça paye le mieux ; à ce qu’il paraît.
Le lendemain, un œil sur la jauge : elle n’a pas même frémi, le nombre de ventes n’a pas bougé d’un iota. Déception.
Mais que dit-on sur Instagram ? Ah ! J’ai eu un j’aime sur un post. Rien d’autre ? Pas de fan en plus. Il faut que je pense à être plus régulier. Mais quoi mettre ? Ils doivent en avoir marre de mon bouquin sous tous les angles, de mes extraits, de mes montages foireux.
Et Facebook ! Comment se fait-il que ma communauté ne croisse pas plus que ça. Pas un j’aime, pas le moindre commentaire. De nouveaux fans peut-être ? Autant ne pas se leurrer… Si ça se trouve, il n’y a plus que moi qui ait accès à cette satanée page.
Bon, ce n’est pas grave, normalement, selon mon calendrier sur Simplement Pro j’ai deux chroniques qui doivent tomber avant la fin du mois. Elles sont sympas ces chroniqueuses.. Mais pourvu que je ne me fasse pas éreinter…
J’ignore si ce chemin de désillusions mène quelque part. À en croire les gourous du E-book et de l’auto-édition, au premier rang desquels Jacques Vandroux, au bout de la route se situe parfois un nirvana éditorial, le succès, la reconnaissance, pour peu que le talent ait été là au départ. Mais le talent est-il là ?
Ils ont raison sur un point, bookstagrammeurs, booktubeurs, blogueurs littéraires, auteurs auto-édités, twittos et autres constituent une communauté aidante et bienveillante. On croise au détour des réseaux de belles personnes, prêtes à partager leurs expériences, à donner un coup de pouce, comme sur le groupe Les mille et une pages de L&M, ou Auteur cherchent Avis Chroniques ou beta lectures et bien d’autres.
A distinguer des coupe-jarrets et détrousseurs à l’affût des auteurs en quête du graal : l’impression papier et la diffusion par un éditeur. Un sujet sur lequel j’ai d’ores et déjà recueilli pas mal d’éléments et qui fera l’objet d’un billet.