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mercredi 10 novembre 2021

Non, la terre ne va pas exploser et Rosemarie finira commissaire du peule

Rosemarie plaide pour une décroissance à laquelle est n'est pas prête.

L'écologie politique est un conservatisme matérialiste. C'est ce qui m'est apparu tout soudain en entendant un chroniqueur sur une radio ex-périphérique, dans l'un de ces débats interminables à propos de la pluie et du beau temps.

"Il y a urgence, la planète va exploser !" sommait la militante insoumise dont j'ai oublié le nom. "Mais non ! me suis-je dit. Non, la planète ne va pas exploser." Sauf à entrer en collision avec une étoile, la Terre ne subira pas d'Armageddon hollywoodien. 

Et quand bien même 35.000 espèces animales menacées disparaîtraient, ce qui constituerait une catastrophe, la température augmenterait-elle de 10° et la calotte glacière se liquéfierait-elle, déclenchant un tsunami d'Apocalypse, la planète, elle, continuerait de tourner autour du soleil, sur un axe immuable, 365 jours par an, 24 heurs par jour. 

Elle en a vu d'autres, la Terre, de l'apparition des premiers micro-organismes à l'ère post-industrielle, en passant par la disparition des dinosaures et les ères glacières, qui surgirent bien avant l'avènement d'homo erectus et l'invention du moteur à explosion.

Rosemarie épuise à elle seule plus de ressources qu'un agriculteur céréalier 

Installée derrière son PC de dernière génération ou sur son smartphone plus puissant qu'un Mac II fx des années 90, Rosemarie (prénom certifié progressiste), militante animaliste, écolo woke, scande des incantations. Durant ses vacances elle a alerté sa communauté Insta depuis Bali, après son trek en Inde. 

Elle ira chercher son Poke Bowl veggie au bar à salades du quartier, en vélo électrique. Elle le consommera assise en tailleur sur son sofa Ikea devant une série Netflix inclusive. Elle épuise plus de ressources à elle seule qu'un agriculteur céréalier de Picardie qui, lui, nourrit des milliers d'humains.

Elle se revendique révolutionnaire, mais elle n'aspire qu'à conserver ce mode de vie urbain "hyperconnecté", en totale déconnexion d'avec la nature. Elle retwittera avant de se coucher "Si les 35.000 espèces menacées dans le monde comprenaient qu'elles ne l'étaient que par une seule..." en commentant : "l'homme est un virus à éradiquer !

Le nihilisme de son propos ne lui effleurera pas l'esprit. Elle pense en boîte recyclée, Rosemarie, comme elle se nourrit. Elle aspire à l'éradication de l'espèce humaine. Sait-elle seulement qu'elle en fait partie.

La Révolution a commencé sans elle

Cet hiver, elle s'endormira dans son appart chauffé à 28° et rêvera de la décroissance qui ne la privera ni de l'Iphone 13 qu'elle a commandé sur Amazon prime, ni du prochain voyage dans la Cordillère des Andes.

Non, la planète ne va pas exploser. Ses écosystèmes naturels, eux, sont bel et bien impactés et modifiés en profondeur par l'activité humaine. Les sociétés humaines ne vont pas cesser d'empiéter sur la vie sauvage, pour ce qu'il en reste. Ni Gretta ni Rosemarie n'y feront rien. 

Une révolution profonde s'est produite sur Terre ces deux derniers siècles : l'accroissement exponentiel  de la population humaine (1 milliard en 1800, 1,5 milliard en 1900, 6 milliards en 2000, plus de 7 milliards aujourd'hui...) accompagné d'une amélioration considérable des conditions de vie. 

Et la plupart des nouveaux humains qui sont nés sur la Terre ces 20 dernières années n'aspire qu'à siroter un soda en tailleur face à un écran XXL dans le salon climatisé de Rosemarie. Ils se fichent comme d'une guigne de ses états d'âme, à Rosemarie, de ses questionnements de genre et des 3° supplémentaires qu'affichera le thermomètre dans les prochaines années. 

Ils ont peut-être tort, mais ça leur en bat une sans faire bouger l'autre, dès lors qu'un Eden leur est promis. Ils aspirent au progrès. Tant pis pour la COP26 et pour les suivantes.

Elle finira commissaire politique

L'humanité tire sa subsistance de la Terre et la Terre lui donne ce qu'elle peut. Si un jour elle s'épuise, l'homme s'adaptera. Peut-être que des phénomènes climatiques éradiqueront des millions de personnes, voire plus. Ce pourrait aussi être une pandémie sérieuse, ou des famines. Mais aucune décision politique n'y pourra rien, pas même la plus rigide des dictatures mondiales.

C'est pourtant bien à ce type de gouvernance qu'aspire notre Rosemarie pour continuer à pédaler avec assistance électrique et manger bio-certifié. C'est pour ça qu'elle conspue à tweet-que veux-tu pollueurs, mâles blancs, chasseurs, patrons et politiques et appelle de ses voeux toutes les contraintes environnementales et sociétales inimaginables. Qu'un tel régime advienne, elle en serait alors commissaire du Peuple, avant de retourner poussière à la Terre, qui continuera ses rotations dans l'Univers. 

Toute vie est vouée à s'achever. Les individus meurent. Les civilisations s'éteignent. Les espèces disparaissent. Les écosystème mutent. La grosse boule qui nous héberge s'en contrefiche. Sait-elle même ce qui se passe à sa surface ?

mardi 9 novembre 2021

Varcolac, un page turner, un roman entraînant...

Les lectrices scotchées à arcolac, l'Homme-loup des Landes. 

Les lectrices restent scotchées à Varcolac, l'homme-loup des Landes. Ce n'est pas moi qui le dit. Ce sont elles. 

Pour Marion :

" ... Un thriller sombre, haletant, entraînant et effrayant qui nous emmène dans les profondeurs les plus noires de l'être humain. " 

" Le décor et les personnages sont très bien décrits ce qui nous plonge encore plus dans l'histoire et la rend réelle. Nous passons d'une enquête à une autre (femme enlevée, personnes qui disparaissent, loups qui apparaissent), pas de répit, de temps mort ou de pause, les chapitres se dévorent et il est impossible de poser le livre car il nous faut connaître la suite. "

Selon Sonia :

"Un roman entraînant.

Un auteur qui nous promène dans un univers noir mais avec une plume légère et soutenue.
Un thriller qui nous ballade jusque dans la noirceur des hommes et l'instinct primaire des animaux sauvages.
Mais "les loups" sont-ils vraiment ceux que l'on pense???"



mercredi 27 octobre 2021

Six thrillers pour le prix d'un poche, promo Halloween !

En partenariat avec cinq auteurs de thrillers, je vous propose de bénéficier d'une promotion spéciale Halloween. Offre valable les 30 et 31 octobre.

Ces six thrillers sont proposés au prix promo de 0,99€ les 30 et 31 octobre, sur Amazon pour la plupart, mais aussi sur les autres plateformes de livres électroniques en ce qui me concerne pour Varcolac.

Varcolac, l’homme loup des Landes - Magnus Latro
Le puits du fou - Joffrey Sinet 
À la vie, à la mort - Laetitia Argoud 
Projet Hurricane - Hervé Bertou 
L’enfer vivait ici - Ludovic Metzker
J’irai souffler sur tes cendres - Emma Blue


Varcolac, l’homme loup des Landes - Magnus Latro

En lisière de la forêt des Landes girondines, le lierre s'affaire à effacer les ruines des bordels du Poteau. Mais le crime et le commerce de la chair ont laissé ici un héritage. Une femme est enlevée sur un parking. Des chasseurs ont disparu et des loups hantent les sous-bois. 
Des militants animalistes manifestent avec violence leurs revendications. Colère et incompréhension se confondent dans les campagnes. Le trafic de drogue s'épanouit à l'abri des grands pins et le sang coule sur les vieux pavés. Le rédacteur en chef du journal local est entraîné malgré lui par un déferlement terrifiant.
Les forces du mal affleurent des âmes tourmentées. Elles ont libre cours quand les ténèbres s'y répandent.


J’irai souffler sur tes cendres - Emma Blue

Solveig vient d’avoir dix-huit ans. Cette nuit aurait dû être synonyme de fête et d’insouciance. Mais la canicule en a décidé autrement. Un incendie fait des ravages meurtriers et change le cours de son destin. Pourquoi s’accuser d’un tel drame ? Personne ne semble comprendre. 
Maître Tévenin, son avocat, et Alice Cassel, chargée de l’expertise, réussiront-ils à décrypter ce mystère ?
J’irai souffler sur tes cendres est un roman psychologique qui vous entraîne sur les chemins tortueux de la résilience. 


Le puits du fou - Joffrey Sinet

Jusqu’où un père est-il prêt à aller pour rendre justice ?Un amour inconditionnel. Une vengeance machiavélique. Sur le papier, rien de plus banal. Depuis la nuit des temps, ce sont deux lieux communs de la littérature. Pourtant, un amour aussi profond et une vengeance aussi abyssale, vous n’en avez jamais vu. Et il se pourrait bien que, jusqu’à son dénouement, l’histoire effrénée de Marc-Olivier Novak vous rende complètement fou…
Qui tombe dans un puits n’en ressort jamais indemne.

Offre promo Halloween : 3,99€ - 0,99€

À la vie, à la mort - Laetitia Argoud 

Un terrible accident de voiture,
Une chute mortelle,
Un seul survivant...
Quand la vie décime les êtres qui vous sont chers, que vous reste-t-il ?
Plongé dans un profond silence depuis le drame, Jules vit reclus dans son manoir, sous les yeux bienveillants de sa grand-mère. Mais l’arrivée d’Ève va bousculer sa vie, et plus rien ne sera comme avant…
Avec ce cinquième ouvrage, l'auteure nous plonge dans un univers totalement différent de ses précédents romans. Après le polar et le thriller, elle nous immerge aujourd'hui dans l'au-delà...

Offre promo Halloween : 2,99€ - 0,99€

Projet Hurricane - Hervé Bertoli

Depuis sa plus tendre enfance, Kane Norton est capable de prodiges qui ne cessent d'étonner, voire inquiéter son entourage. 
Loin de lui rendre la vie plus facile, ses capacités hors de contrôle ne lui valent en réalité que méfiance et isolement.
Deux événements vont changer son destin : sa rencontre avec Lou, une marginale au passé trouble et sa collaboration avec Simon Terre Blanche, un thérapeute en mal de rédemption, bien décidé à résoudre l'énigme qu'elle représente.
A force de persévérance et d'obstination, il va percer son secret et déclencher bien malgré lui un réaction en chaîne qui va plonger leur existence dans le chaos.
Construit comme un film, Projet Hurricane nous entraîne dans une aventure qui tient le lecteur en haleine de bout en boutet laisse augurer de ce que pourrait devenir notre futur.

Offre promo Halloween : 2,99€ - 0,99€

L’enfer vivait ici - Ludovic Metzker

Trois amis d'enfance font l'acquisition d'une vieille maison de la banlieue berlinoise. Après plusieurs mois de travaux elle est devenue un magnifique gîte.
À l’heure où leurs femmes accueillent les premiers clients, Karl, Marc et Farid se rendent à deux cents kilomètres de là. Une ancienne gare suscite leur intérêt.
Une porte qui claque et qui refuse de s’ouvrir. Une ombre entrevue dans un miroir.
Des graffitis, des chants d’hier... Au tout début de la Seconde Guerre mondiale, les nazis pratiquèrent des expériences sur des prisonniers qui étaient contre le parti d’Adolf Hitler. De nos jours, il est temps, pour elle, de finir ce qui a été commencé… 
L’horreur se tient aux portes de cette ancienne maison entièrement rénovée en un sublime gîte. Les trois amis sont prêts à accueillir les nouveaux clients. Ils sont loin de se douter que l’horreur va frapper à la porte et aucun ne s’inquiétera des propos de ce vieux monsieur. Selon lui, il se raconte qu’autrefois… L’enfer vivait ici !

Offre promo Halloween : 2,99€ - 0,99€

jeudi 14 octobre 2021

Après Joël Dicker et Zemmour, Mbappé passe à l'autoédition

Kylian Mbappé publie son roman graphique, je suis Kylian, en autoédition. Et ça ne plaît pas à tout le monde.

 Jusque là, l'autoédition était le pis-aller d'auteurs inconnus, las d'attendre en vain les réponses des grandes maisons d'édition, une forme de maladie honteuse. On observe désormais le commencement d'un mouvement de plumes célèbres vers ce mode de publication. 

Largué par Albin Michel, Eric Zemmour a choisi de se lancer tout seul pour publier La France n'a pas dit son dernier mot, qui cartonne en librairie. Avant lui, Joël Dicker, romancier suisse avait plaqué Bernard de Fallois pour lancer sa marque. Des auteurs vedette de chez Ring, Laurent Obertone, Papacito et Marsault ont annoncé avant l'été se séparer de cette maison...

On savait que l'autoédition était un tremplin pour les plumes en devenir, à l'instar d'Anna Gavalda, de Jacques Vandroux ou de Muriel Barbey, elle apparaît aujourd'hui comme un refuge, ou la solution d'un nouveau départ. 

Papacito, le youtubeur préféré de Jean-Luc Mélenchon, et Julien Rochedy, autre influenceur et auteur politique, signent à quatre mains "Veni vidi vici, menace sur les gauchistes", sous un label indépendant. Le premier tirage en a été épuisé en à peine une semaine.

Le dernier venu dans cet univers fourmillant est Killian Mbappé, la star du foot tricolore qui édite seul son premier roman graphique, "Je m'appelle Kylian" ; et ça ne plaît pas à tout le monde. 

Renaud Dubois, patron de la maison Amphora "l'éditeur des sportifs" se fend en effet d'une lettre ouverte au footballeur pour lui manifester son incompréhension. 

A votre bon cœur !

On peut partager sa peine : il voit passer sous son nez et sous celui de ses confrères un coup d'édition garanti doré sur tranche. M.Dubois explique donc à Kiki, avec un peu de condescendance, que le métier d'un éditeur consiste à donner sa chance à des auteurs inconnus et qu'il a besoin pour cela de signer des vedettes qui lui rapporteront le pactole. Il regrette donc que l'attaquant du PSG n'apporte pas sa contribution à la machine éditoriale, à laquelle la nature généreuse du sportif aurait dû contribuer.

C'est bien dit et beaucoup d'auteurs qui n'ont pas même reçu le début d'une réponse des grands éditeurs aimeraient bien en être convaincus comme lui. On constate toutefois - et loin de moi l'idée de mettre en cause la sincérité de cet éditeur en particulier - que la plupart de ses confrères privilégient sans vergogne les thématiques en vogue, les petits auteurs qui ont déjà réussi, les copains de copains et les pourvoyeurs de best-sellers. C'est légitime, il s'agit de business...

Un marché qui se reconstruit

Tout ceci n'aurait que peu d'importance si la surproduction littéraire des ogres de papier ne saturait les rayons des libraires avec une stratégie d'occupation systématique et de contrainte.

Vu du côté d'un autoédité, ces récents choix d'indépendance sont le signe d'un frémissement du marché et des pratiques éditoriales. Dans le même temps, les libraires ont fait voter une loi imposant aux gros vendeurs en ligne (Amazon, plus particulièrement) d'appliquer des tarifs égalitaires. La filière va mal et le renouveau du métier fait trembler les fortins.

Tout ce joli monde se drape dans les vertus du pluralisme et de la noblesse de leur profession... Nul ne doute que ces augustes pensées ont inspiré Albin Michel quand il a été décidé de ne plus publier Eric Zemmour. Et ce sont, sans aucun doute, ces mêmes motifs qui dictent aux grandes librairies de snober les jeunes talents sans éditeur et à certains de refuser l'accès à leurs rayons pour cause de malpensance. 

Le vent tourne et, à ce rythme, le chiffre d'affaires des libraires devra bientôt plus à des autoédités qu'aux grosses compagnies du livre. A moins que le business du livre ne leur échappe finalement pour de bon, si ce n'est à tous, au moins à ceux qui n'auront pas su anticiper le changement, parce qu'il en existe qui ont bien compris que l'immense créativité du monde de l'autoédition propose aussi des pépites.

mardi 21 septembre 2021

Plus de foot à la récré, dans les cours dégenrées

Au nom d'une école inclusive, les municipalités écolo dégenrent les cours de récré. 

Oubliez les cages de foot, les jeux de balles dans les cours de récréation. Les garçons étaient trop envahissants et dominateurs. Ils devront se mêler aux petites filles, trouver des occupations plus saines, moins viriles. Il en va de l'égalité des genres, en attendant mieux, ou pire.

Un peu partout en France, les municipalités vertes/roses/rouges revisitent les espaces de jeu de nos petits, en mode inclusif et non genré. Pierre Hurmic, maire vert de Bordeaux en a ainsi inauguré une à la rentrée 2021. Il a prévu d'investir 12 millions d'euros pour poursuivre ce grand œuvre, sous couvert d'écologie et d'inclusion.

Des cours dégenrées à coups de millions

A Grenoble, on débitume et on dégenre aussi à grands coups de millions, tout comme à Lyon. Et tant pis pour les petits bonshommes qui auraient préféré taper dans la balle plutôt que de jouer à la marelle. Grégory Doucet, maire de la capitale des Gaules n'a pu qu'opposer un sourire gêné à la déception d'un jeune élève déçu :

" De base, moi je voulais des cages de foot et un ballon de foot. Mais comme par hasard, y'a rien! Y'a que j'sais-pas-quoi, comment ça s'appelle ça ? (il désigne les copeaux de bois). Ouais des copeaux. Et après y'a de la terre. Et après y'a rien".

Monsieur Doucet aurait pu répondre : 

"Mais tu te trompes, petit bonhomme, après, il y aura quelque chose. Après, tu pourras jouer à la marelle, sauter à la corde et apprendre les jeux de tes petites camarades de classe. C'est pour ton bien. Tu ne le sais pas encore, mais, si ça se trouve, tu n'es pas un petit garçon, tu es peut-être une fillette, ou pas, ou entre les deux. Et ça changera sans doute, vois-tu..."

Il aurait pu dire ça, Grégory Doucet, et il l'a peut-être même pensé. Mais il était probablement trop tôt pour sortir démasqué. Pour l'instant on en reste à la thèse officielle, celle de Najat Vallaud-Belkacem, qui déclarait en 2014 :"la théorie du genre, ça n'existe pas !

Elle disait vrai - la théorie du genre n'en était déjà plus une - mais il faudrait désormais être atteint de cécité pour ne pas distinguer le projet que dissimulait ses dénégations véhémentes. Depuis, le gender a envahi toutes les strates de l'université. Il occupe les campus, s'infiltre au cœur de tous les débats, jusque dans les AG, non mixtes, exclusives pour devenir inclusives.

Selon ses dogmes, il convient aussi d'exclure de la vie quotidienne des petits garçons les jeu de leur sexe, afin d'inclure leur existence au meilleurs des mondes à venir ; un univers neutre, fluide, dégenré, et aussi un peu dérangé.



jeudi 9 septembre 2021

La fabrique des bâtards : des idées tranchées sur des sujets sensibles.. osé !



Perrine a apprécié La Fabrique des bâtards. Je vous livre sa réflexion :

" C'était mon premier thriller politique et social et je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Et je n'ai pas été déçue. Je suis plutôt friande des romans dystopiques, futuristes... 

Et celui ci est particulièrement sombre ! Une possible réalité avec la CoParPar (CoParentalité Partagée). Je n'y avais jamais réfléchi mais c'est fou !! 

C'est une chance, une opportunité pour les couples non fertiles ou encore les homosexuels. Mais c'est également accepter en tant que mère de donner son enfant à des inconnus... 

Des idées assez tranchées sur des sujets sensibles, c'était osé ! Mais ça ne m'a pas dérangé le moins du monde. J'ai beaucoup aimé ma lecture et je recommande cet ouvrage. 

Sauf si vous avez les idées arrêtées."